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Le manque d’infirmières dans les hôpitaux gangrène les équipes de soin. Pourquoi ce métier si valorisé de l’extérieur connaît-il de telles difficultés de l’intérieur ? Stéphanie a 43 ans. Elle était infirmière, aujourd’hui, elle tient un bar-tabac-PMU.

Quel bilan, quel avenir ? On en débat au Patronage laïque Jules Valles à Paris, ce 7 novembre à partir de 18h. Francis Carrier, un des quatre fondateurs du CNaV, regarde le chemin parcouru.

Sociologue de la santé, Annie Thébaud-Mony combat les inégalités sanitaires et sociales. Plus particulièrement dans le monde du travail, à travers les maladies professionnelles, où son action s’associe à celle de collectifs locaux et de syndicalistes en quête de justice.

Mise en examen pour sa gestion des premières semaines de l'épidémie de Covid-19, Agnès Buzyn est sortie de son silence en chargeant fortement Emmanuel Macron et Édouard Philippe. « Non seulement j'avais vu, mais prévenu », a-t-elle martelé.

Peut-on définir la sobriété en matière de médicament ? Oui ! Par le simple bon sens (toujours préférable aux normes compliquées) : jamais de médicament quand cela n’est pas pleinement justifié, et ne surtout pas s’en priver dans le cas contraire…

Depuis plus de vingt ans, l’environnement néolibéral a encouragé la réduction de la place et du rôle de l’État dans les politiques publiques. Dans un contexte de concurrence, nombre d’interventions étatiques ont ainsi été poussées à réduire leur périmètre...

Juriste et sociologue, Pierre Lascoumes était chercheur et enseignant à l’Institut d’études politiques. Pour VIF, il écrit, invente, raconte des histoires autour de la vieillesse. Et des fragilités humaines.

Les ministres adorent parler, diagnostiquer. Et ils ont raison : c’est leur fonction. Ainsi François Braun, ministre de la Santé, la semaine dernière dans Libération...

Médicament rime mieux avec « business plan », « fuite en avant » ou « argent » qu’avec sobriété. En fait, le médicament ne semble connaître que deux états : la pénurie, dans la plus grande partie de la planète, et la gabegie dans le noyau des pays encore riches.

Sobriété dans la prise en charge des vieux ? Évidemment que la question se pose. D’abord parce que dans tous les secteurs de la médecine, il y a une surabondance d’examens, avec trop de prescriptions de médicaments, trop de tout. Et depuis vingt ans, pour les vieux, aussi.