Vieux, inégaux et fous,
les fragiles de notre présent :
qu’ont-ils à dire,
qu’avons-nous à en dire ?
A la une
Lui annoncer que quelque chose va arriver. Vite arriver. Et entendre sa réaction. « Non pas ça. Non, c’est non. » Aucun membre de la famille ne veut « lui dire ». L’aînée ? La cadette ?
Mario Colucci est un repère. Psychiatre, psychanalyste, directeur du Servizio Psichiatrico di Diagnosi e Cura (SPDC) du département des Addictions et de Santé mentale de Udine (Italie), il a longtemps travaillé à Trieste. Également auteur de nombreux travaux sur Franco Basaglia, il a accepté, pour VIF, de nous livrer sa réflexion sur la contention, reprenant des analyses passées.
Professeur de psychiatrie, chef de service d’un vaste secteur du Val-de-Marne au CHU de Créteil, Antoine Pelissolo est aussi premier adjoint au maire de Créteil. Il parle sans faux fuyant de la contention et de l’isolement en psychiatrie, faisant clairement la différence entre les deux, rappelant aussi qu’il y a des situations où le danger est réel.
Lors d’un séjour dans un village de montagne, j’ai été appelé au secours par une amie, pour un couple de personnes âgées, traumatisé par un incident assez dramatique qui s’est déroulé fin décembre avec leur petit-fils, Philippe, un jeune homme de 23 ans.
Au début des années 1970, une artiste singulière, jeune femme tout de noir vêtue, entre en scène. Dans des monologues aussi inquiétants que drôles, avec une voix sans pareille, Isabelle von Allmen s’invente Zouc.