#raconter
Mathieu Gabard est auteur de CRA, 115 propos d’hommes séquestrés, un livre à part, inouï, où il a recueilli la parole de personnes enfermées dans des Centres de rétention administrative (CRA), avant une éventuelle expulsion.
Elle est là, debout devant sa toile plus grande qu’elle, un gros pinceau qu’elle tient à pleine main. Elle remplit d’une couleur vive cette toile qui représente sa terre, sa mer, comme elle dit…
Sans doute ce nom ne dit pas grand-chose à la plupart des gens. Et pourtant… Au milieu des années 1970, cet infirmier psychiatrique de l’hôpital de Ville-Évrard publia son premier livre qui allait provoquer un séisme dans le milieu psychiatrique.
Réflexions autour d’images ordinaires, de photos prises par des amateurs, des portraits, des dessins, des œuvres de photographes de proximité. Comme un album auquel chacune et chacun sont invités à contribuer.
L’été 2022 ? Allons donc, il ne s’est rien passé. On annonçait l’effondrement de l’hôpital public, sous les coups conjoints du Covid et de la pénurie de personnel. Eh bien non. Il est là, toujours là…
La maison a été reconstruite il y a un peu plus de cent ans, au lendemain de la Grande Guerre ; elle avait été incendiée par l’armée allemande – l’ancienne frontière de 1870 est encore visible à un kilomètre.
Avec Thibault Izoret Masseron (TIM), journaliste de retour de Kharkiv en Ukraine, cet été. TIM est journaliste reporter indépendant. Il vient de passer plusieurs mois à Kharkiv, deuxième ville d’Ukraine.
Dès le mois d’avril 2020, sur le site Internet de la Maison de l’étudiant de l’université de Paris 8 Saint-Denis, dans l’onglet « Aide sociale ponctuelle », s’affiche un document de deux pages, avec un encadré...
Ce que l’on ne vous explique jamais quand on vous invite « à la campagne », c’est qu’avant d’y arriver, il faut endurer l’épreuve de l’autoroute ou la torture des trains de banlieue…
Il est rare que l’on parle si tendrement, en temps de guerre. Sur la ligne de front entre la République populaire du Donetsk et l’Ukraine, deux habitants sont là, ils parlent. Ils sont restés dans leur village.