#raconter

Juriste et sociologue, Pierre Lascoumes était chercheur et enseignant à l’Institut d’études politiques. Pour VIF, il écrit, invente, raconte des histoires autour de la vieillesse. Et des fragilités humaines.

Retour sur le débat organisé par VIF et animé par Jean-François Corty, mardi 31 mai, pour nous arrêter un instant sur les victimes invisibles des guerres, les vieux comme les fous. Extraits des interventions.

Les rapports d’expertises publiés jusqu’en 1914 par les revues médicales constituent des archives très instructives sur la manière dont les aliénistes tentaient de comprendre comment et pourquoi des individus avaient assassiné leur mère…

C’est mon fils Pierre, né en 2005, qui m’a dit d’aller voir Vortex. J’ai tardé, le film ne se jouait plus qu’au Brady, le vieux cinéma de Jean-Pierre Mocky. Alors, ce samedi après-midi de mai 2022, j’y suis allé, à la séance de 15h30.

Apprenant la construction d’un Ehpad de plus de 300 lits dans le nord de la France en pleine explosion du scandale Orpea, VIF a voulu aller voir et interroger les premiers intéressés, ou plus exactement les décideurs.

Réflexions autour d’images ordinaires, de photos prises par des amateurs, des portraits, des dessins, des œuvres de photographes de proximité. Comme un album auquel chacune et chacun sont invités à contribuer.

Les Heures heureuses, c’est un documentaire qui retrace l’histoire de l’hôpital de Saint-Alban en Lozère, juste avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale, sous la houlette de quelques psychiatres dont le Dr François Tosquelles.

Entretien avec trois pairs aidants professionnels membres d’Esper Pro, qui œuvre pour la professionnalisation et la reconnaissance du savoir « expérientiel » dans le système de soins.

Retour sur une question qui demeure oubliée : celle des malades mentaux français restés enfermés à l’hôpital psychiatrique de Blida après l’indépendance.

Il y a quelque chose de très attachant mais aussi de déroutant chez Patrick Aeberhard, cardiologue, ancien président de Médecins du monde, c’est qu’il se retrouve toujours là où le malheur est à son apogée…