#raconter

Il y a eu du monde, beaucoup du monde, peut-être autour de 5 000 personnes qui sont venues au Contre-salon des vieux et des vieilles qui s’est tenu à Bordeaux du 26 au 28 septembre. Une foule disparate de cheveux blancs, aux deux tiers féminine. C’était vivant et gai.

Surtout lire les petites annonces posées dans les supérettes. On ne sait jamais, mais surtout on apprend beaucoup...

A la brocante, on trouve de tout, des objets d'hier et des passants d'aujourd'hui. Mais aussi des mannequins en plastic. Petite rêverie autour d'une promenade.

Il est difficile de se dire qu’il s’est passé quelque chose d’historique pendant ces six premiers mois de 2025 où la santé mentale a été déclarée grande cause nationale. Il n’empêche, on en a parlé. Et des livres forts ont été écrits.

Il faut lire les petites annonces du Fil des ans, la revue des retraités du BTP. On y apprend plein de choses sur les rêves des vieux et vieilles...

Édith Cassan-Toesca est un des nouveaux visages du CNaV (Conseil national autoproclamé de la vieillesse), ce drôle d’objet, ovni lancé il y a quatre ans, avec pour slogan : « Rien pour les vieux sans les vieux ». Fin septembre se tient à Bordeaux la seconde édition du contre salon des vieilles et des vieux, avec toujours cette même envie de s'engager...

L’été, on lit la presse locale ; on y apprend avec plaisir des détails sur le feu d’artifice du 14 juillet ou la célébration du centenaire de Madame D. Et cet été, il y en a eu des centenaires, on dit même qu’en 2030 il faudra une chronique particulière car ils seront plus 40 000 en France. Et en 1889, comment allaient les centenaires ? Y en avait-il ? Réponse dans l'Union républicaine de Saône-et-Loire.

C’est un article paru en août dernier sur le site américain Mad in America. Et c'est le témoignage impressionnant d'un salarié d'un labo qui raconte comment imposer son médicament.

Lui annoncer que quelque chose va arriver. Vite arriver. Et entendre sa réaction. « Non pas ça. Non, c’est non. » Aucun membre de la famille ne veut « lui dire ». L’aînée ? La cadette ?

Au début des années 1970, une artiste singulière, jeune femme tout de noir vêtue, entre en scène. Dans des monologues aussi inquiétants que drôles, avec une voix sans pareille, Isabelle von Allmen s’invente Zouc.