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Marie-Jeanne Richard, présidente de l’Unafam n’est pas franchement en colère. Elle est simplement lassée de dresser les mêmes constats. Ce jour-là, elle sort d’une réunion au ministère de la Santé pour évoquer le Projet de loi de financement de la sécurité sociale…
Sans doute ce nom ne dit pas grand-chose à la plupart des gens. Et pourtant… Au milieu des années 1970, cet infirmier psychiatrique de l’hôpital de Ville-Évrard publia son premier livre qui allait provoquer un séisme dans le milieu psychiatrique.
Suite à la visite de la Contrôleure générale des lieux de privation de liberté qui en faisait l’éloge, la cheffe du service de psychiatrie de l’hôpital général de Chinon nous raconte son histoire et celle de son service.
La psychiatrie s’effondre, les discours catastrophistes se multiplient, on se plaint de tous côtés, et il ne se passe rien. VIF ouvre un espace de tribunes pour tenter de casser ce ronronnement un peu sinistre avec un texte venant des premiers concernés : les malades.
Les rapports d’expertises publiés jusqu’en 1914 par les revues médicales constituent des archives très instructives sur la manière dont les aliénistes tentaient de comprendre comment et pourquoi des individus avaient assassiné leur mère…
« Attendez… Dire que c’est une maladresse, ce n’est pas très sérieux… Ce sont des grandes personnes qui ont écrit ce décret, elles savent ce qu’elles font ou ce qu’elles écrivent. »
VIF fête sa première année et comme bougie, nous vous invitons à souffler sur une soirée-débat le 31 mai, de 18 à 21 heures, dans l’amphi de l’Institut de relatons internationales et stratégiques (IRIS) à Paris.
Les Heures heureuses, c’est un documentaire qui retrace l’histoire de l’hôpital de Saint-Alban en Lozère, juste avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale, sous la houlette de quelques psychiatres dont le Dr François Tosquelles.
Entretien avec trois pairs aidants professionnels membres d’Esper Pro, qui œuvre pour la professionnalisation et la reconnaissance du savoir « expérientiel » dans le système de soins.
C’est une situation qui m’a indignée, hantée et mobilisée, qui m’incite à relater des faits auxquels j’ai été confrontée alors que j’étais à la retraite après plus de quarante-cinq ans de travail en psychiatrie…