vieux

Le virage domiciliaire est le leitmotiv des pouvoirs publics pour asseoir leur politique sur la grande vieillesse. Mais à l’heure où une grande loi sur la vieillesse semble abandonnée, un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales, rendu public le 24 mars, montre que les pouvoirs publics ne se donnent pas les moyens de leur politique.

Routines punitives – Les sanctions punitives du quotidien du XIXe, XXe siècle est un ouvrage collectif, passionnant sur le monde des petites et moyennes punitions dans nos institutions, que ce soit l’école, les asiles, les maisons de retraite. VIF a discuté avec deux de ses autrices.

Extraits d’une conversation, animée par Laure Adler, entre deux femmes hors du commun, Michelle Perrot, historienne, 95 ans, et Annie Ernaux, prix Nobel de littérature, 83 ans. Un échange magnifique où se mélangeaient propos sur soi et mots vers les autres.

Partenaire du Contre-salon des vieilles et des vieux, VIF proposait sur son stand de commenter différents clichés de « vieux » d’un autre temps. Cinq femmes et un homme font part de leur réaction.

Tables rondes spécifiques ou non, ateliers : le Contre-salon a été l’occasion de poser la question des politiques de la vieillesse, mais aussi et surtout celle de l’action politique des vieux, et des vieilles.

Le Contre-salon des vieilles et des vieux a été un moment exceptionnel. Exceptionnel par l’affluence, mais aussi par la qualité des discussions qui se sont tenues dans les ateliers. Comment, dès lors, transformer cette réussite en quelque chose de plus pérenne ?

Les médecins de la fin du XIXe siècle avaient le goût de l’histoire et des grands hommes. Le célèbre Alexandre Lacassagne, né en 1843 et mort en 1924, qui fonda à Lyon l’école française d’anthropologie criminelle où il enseigna la médecine légale, avait cette passion…

La vieillesse n’est qu’un problème. Un problème auquel d’autres cherchent des solutions qui, au passage, ne sont jamais proposées par les intéressés. Tout le monde a son avis. Et nous, les vieux et les vieilles, quand allons-nous nous exprimer sur nos choix ?

Elles restent seules. Elles s'appellent Magda, Fina, Belkis. De fait, ce sont surtout des femmes. De vieilles femmes, ou en train de devenir vieilles, dont la vieillesse est l’horizon proche, dans un Cuba où c’est la famille qui doit prendre soin des personnes âgées, les accompagner...

Une photo et deux regards. Que voit-on lorsque l'on entre dans l'intimité d'une vieille personne ? La photographe hésite, le sociologue s'interroge. Voilà Gilberte qui lit. Voilà une photographe qui se demande comment disparaître. Voilà un sociologue qui tente de décrire.