vieux
De retour du Japon, quelques mots sur ces vieux qui doivent continuer à travailler pour arriver à vivre.
Entre 2013 et 2020, Émilie Leconte, a monté un projet avec différents établissements accueillant des personnes de plus de 65 ans. Elle a multiplié les entretiens individuels. Leurs discussions ont porté sur la place de l’amour dans leur vie. Voilà l'épisode 3.
C’est une exposition sans mot que présente notre ami Philippe Artières, à l’occasion du festival « Nous sommes là ». Il dit : « Je ne me suis rendu compte de rien au début, puis cela m’a sauté aux yeux, comme une évidence : toutes ces femmes et ces hommes avaient un point commun, ils étaient vieux. »
C’est quoi être vieux ou vieille ? Serait-ce comme changer de nom, de peau, voire d’identité en prenant de l’âge ? Serait-ce en somme une caractéristique aussi forte que le genre ? Ou n’est-ce qu’une étape de la vie ? Avant d'en débattre le 18 novembre, voici de qu’en dit… ChatGPT
Ancien chef de service de gériatrie de l’hôpital Georges Pompidou et de l’hôpital Corentin Celton, Olivier Saint-Jean vient de soutenir un mémoire sur « L’hécatombe des vieux. La surmortalité dans les hospices de l’Assistance publique de Paris pendant la Seconde Guerre mondiale ». Nous en publions la conclusion.
Entre 2013 et 2020, Émilie Leconte a monté un projet avec différents établissements accueillant des personnes de plus de 65 ans. Elle a multiplié les entretiens. Leurs discussions ont porté sur la place de l'amour dans leur vie. Elle en fait un spectacle, mais aussi des chroniques. VIF en publiera régulièrement.
Alors que l'on évoque de plus en plus la possibilité de limiter les permis de conduire des vieux et vieilles, petite promenade en voiture avec une femme qui se rend au cimetière.
Entre 2013 et 2020, Émilie Leconte a monté un projet avec différents établissements accueillant des personnes de plus de 65 ans. Elle a multiplié les entretiens. Leurs discussions ont porté sur la place de l'amour dans leur vie. Elle en fait un spectacle, mais aussi des chroniques. VIF en publiera régulièrement.
Il y a eu du monde, beaucoup du monde, peut-être autour de 5 000 personnes qui sont venues au Contre-salon des vieux et des vieilles qui s’est tenu à Bordeaux du 26 au 28 septembre. Une foule disparate de cheveux blancs, aux deux tiers féminine. C’était vivant et gai.
Surtout lire les petites annonces posées dans les supérettes. On ne sait jamais, mais surtout on apprend beaucoup...