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VIF fête sa première année et comme bougie, nous vous invitons à souffler sur une soirée-débat le 31 mai, de 18 à 21 heures, dans l’amphi de l’Institut de relatons internationales et stratégiques (IRIS) à Paris.

Entretien avec Marie Thibaud, dont le fils a été le premier d’une longue série d’enfants malades du cancer dans son secteur, qui bataille pour faire reconnaître l’existence d’une épidémie de cancers pédiatriques.

Apprenant la construction d’un Ehpad de plus de 300 lits dans le nord de la France en pleine explosion du scandale Orpea, VIF a voulu aller voir et interroger les premiers intéressés, ou plus exactement les décideurs.

Réflexions autour d’images ordinaires, de photos prises par des amateurs, des portraits, des dessins, des œuvres de photographes de proximité. Comme un album auquel chacune et chacun sont invités à contribuer.

Les Heures heureuses, c’est un documentaire qui retrace l’histoire de l’hôpital de Saint-Alban en Lozère, juste avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale, sous la houlette de quelques psychiatres dont le Dr François Tosquelles.

Notamment basée sur l’autosupport et l’identification à une population, l’approche développée dans la lutte contre le sida pourrait revaloriser l’image des vieux dans notre société, en leur donnant un rôle de pair ou d’accompagnant pour les autres vieux.

Entretien avec trois pairs aidants professionnels membres d’Esper Pro, qui œuvre pour la professionnalisation et la reconnaissance du savoir « expérientiel » dans le système de soins.

C’est une situation qui m’a indignée, hantée et mobilisée, qui m’incite à relater des faits auxquels j’ai été confrontée alors que j’étais à la retraite après plus de quarante-cinq ans de travail en psychiatrie…

Retour sur une question qui demeure oubliée : celle des malades mentaux français restés enfermés à l’hôpital psychiatrique de Blida après l’indépendance.

Il y a quelque chose de très attachant mais aussi de déroutant chez Patrick Aeberhard, cardiologue, ancien président de Médecins du monde, c’est qu’il se retrouve toujours là où le malheur est à son apogée…