#interroger

Grâce à Internet et aux technologies numériques, nous avons maintenant accès à toutes sortes de connaissances et de services qui nous facilitent grandement la vie. Mais tout cela devient problématique pour les personnes qui n’ont pas été habituées à utiliser les technologies numériques.

D’abord une déception… Tout ce temps passé, ces recours, ces débats, cette convention citoyenne, ces tribunes, un énième avis du Comité national d’éthique, et voilà que le président a décidé ce petit pas. Et ouvert ainsi un petit accès à l’aide à mourir.

Depuis très longtemps, on ne sait nommer les personnes malades. Le mot fou est chargé d’un poids ancestral de peur et de rejet. Ne serait-ce pas, parce qu’il touche en chacun de nous, en chaque personne, en chaque individu, un « point » hypersensible et… inquiétant ?

Mathématicien, psychiatre et responsable d’une unité de recherche en santé publique, Bruno Falissard est venu débattre de la notion de neurodiversité, utilisée pour faire connaître des différences au sein de l'espèce humaine et les faire accepter en tant que variabilités neurologiques.

Les fins de vie sont toutes singulières et uniques. Ce constat, auquel s’ajoutent les interrogations sur la légitimité de la collectivité à intervenir dans le domaine le plus personnel qui soit, fait de la rédaction de la loi annoncée sur la fin de vie un exercice particulièrement ardu.

Mais pourquoi diable cela fonctionne-t-il aussi mal ? Pourquoi autant de morts liés à un mauvais usage des médicaments ? Pourquoi des prix ahurissants pour des bénéfices incertains ?... Éléments de réponses à l’aide de quelques extraits du débat organisé par VIF le 24 janvier dernier.

Attention : changement d’horaire. Débat le mercredi 24 janvier de 18h à 19h30. Inscription (gratuite) : https://urlz.fr/pbcB  Possibilité pour les inscrits qui ne peuvent se déplacer d’assister au débat en...

« Le sujet de la fin de vie ne peut être abordé que la main tremblante », aurait dit le grand rabbin de France à Emmanuel Macron. Deux ans de débats, de concertations, de convention, et aujourd’hui, on attend… Revenons à quelques propos, un choix arbitraire bien sûr.

C’est quoi l’accompagnement des patients à l’autonomie en santé ? Quel est le rôle des associations, aujourd’hui faiblement reconnues alors que les besoins explosent ? Que veulent-elles ? Être des partenaires « réguliers », car comme dans la chanson, elles sont dotées « d’une bonne dose de savoir-faire » ?

Jean-François Corty est vice-président de Médecins du monde (MdM). Depuis deux mois, on le voit et on l’entend avec des mots d’une colère de moins en moins retenue pour évoquer la situation de plus en plus délicate et désormais catastrophique de milliers de personnes dans la guerre autour de Gaza.