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Voilà un témoignage transmis par Lucien Leguay, président de l'association VE.DI.BE – Vieillir dans la dignité et le bien-être. Et il se dit effondré : « Georges a subi ces turpitudes », écrit-il, « depuis plus de trois mois, et de quelque côté que l’on se tourne, il n’y a pas de réponse rassurante et le périple décrit ne semble pas prendre fin en ce début de mars. »

C’était un soir de décembre, dans un cinéma près de la Sorbonne. On y projetait Histoires d’A. Certaines, certains avaient déjà vu ce film de 1974 ; d’autres, dont j’étais, le découvraient. Impression d’étrangeté et de familiarité qui donne à penser sur les cinquante ans qui nous séparent de ces luttes, mais aussi sur l’inégalité de l’accès à l’IVG, encore en 2024.

Mathématicien, psychiatre et responsable d’une unité de recherche en santé publique, Bruno Falissard est venu débattre de la notion de neurodiversité, utilisée pour faire connaître des différences au sein de l'espèce humaine et les faire accepter en tant que variabilités neurologiques.

Les fins de vie sont toutes singulières et uniques. Ce constat, auquel s’ajoutent les interrogations sur la légitimité de la collectivité à intervenir dans le domaine le plus personnel qui soit, fait de la rédaction de la loi annoncée sur la fin de vie un exercice particulièrement ardu.

En 2019, j’ai succédé à une directrice d’hôpital qui était en poste depuis presque quinze ans et qui ne pratiquait pas l’informatique. Son bureau était garni d’armoires remplies de dossiers, courriers, notes, rapports, comptes rendus d’instances, tout sous format papier, soigneusement classés.

Lors d'une cérémonie, le 1er février dernier à l'Oratoire du Louvre à Paris, la professeure Sophie Matheron a rendu hommage à Frédéric Edelmann, cofondateur de l'association Aides, puis d'Arcat-Sida.

Nous avons voulu voir l’exposition « Ripostes », dont notre ami Philippe Artières est un des artisans, en nous demandant quels enseignements en tirer pour aujourd’hui. Quels leviers recueillir dans les luttes passées pour tenter d'effriter les blocages de 2024 ? Mais le passé s’échange-t-il ?

Mais pourquoi diable cela fonctionne-t-il aussi mal ? Pourquoi autant de morts liés à un mauvais usage des médicaments ? Pourquoi des prix ahurissants pour des bénéfices incertains ?... Éléments de réponses à l’aide de quelques extraits du débat organisé par VIF le 24 janvier dernier.

Le médicament, c’était mieux avant ? Sûrement pas si on songe aux nombreux médicaments inutiles qui ont heureusement disparu du paysage. Encore moins si on regarde les progrès thérapeutiques apportés par de nombreux nouveaux médicaments ces vingt dernières années. Le médicament est un outil essentiel à notre bonne santé.

Hortense Soichet travaille sur l’habitat, plus précisément sur la relation que les occupants entretiennent avec leur lieu de vie. Elle procède pour cela à des relevés visuels et sonores, par photographie des espaces et sauvegarde des récits que les habitants livrent sur leur domicile.